Chapitre I :
Il était une fois un jeune lycéen du nom de Thomas, à l’époque en classe de première il n’avait rien de spécial. Il allait en cours quatre jours et demi par semaine, mangeait, dormait et jouait beaucoup aux jeux vidéo comme la plupart des garçons de son âge. Mais au fil des mois et des années les pensées de Thomas devinrent focalisées sur une seule chose : jouer à Minecraft. Il ne vivait presque plus que pour ça, devenait associable et se renfermait sur lui-même. Un vendredi soir en rentrant aux alentours de 18h30 chez lui sans un mot pour ses parents et sa soeur il se dirigea vers son ordinateur tel un automate.
– Je vais enfin pouvoir jouer.
Thomas allume son ordinateur avec excitation.
L’écran d’accueil s’allume, il s’empresse de double-cliquer sur l’icône cubique. Le jeu reste bloqué sur la fenêtre blanche avec l’écriteau Mojang. Thomas hurle de rage.
– Dépêches-toi, ordi de MERDE !
L’ordinateur comme s’il écoutait l’adolescent affiche l’écran d’accueil du jeu. Mais avec un paysage en arrière-plan qui n’est pas habituel.
– Tient Mojang a fait une mise à jour ? Je vais voir sur Minecraft-France.
Thomas ouvre son navigateur, tape sa recherche et consulte les derniers articles publiés sur le site.
– Non pas de mise à jour, bizarre. C’est tout simplement mon jeu ou mon ordi qui me joue des tours.
Thomas retourne sur la page d’accueil de Minecraft et clique sur le bouton multijoueurs et commence à jouer sur ses serveurs minecraft.
Les heures défilent, 19 h, 20 h.
– Thomas, ON MANGE ! Crie sa mère.
– JE M’EN FOUS JE N’AI PAS FAIM ! Lui rétorque le garçon.
Thomas sort un paquet de chips de son tiroir et commence à manger. Sa mère désespérée car elle sait pertinemment qu’elle ne le convaincra pas, retourne manger.
Les heures défilent, 21 h, 22 h, 23 h, minuit, 1 h.
Thomas n’a plus aucune notion du temps qui s’écoule. Il décide de lancer une partie en solo pour se calmer après avoir rage quit une partie en multijoueurs. Mais après une dizaine de minutes, l’adolescent s’endort sur son clavier d’ordinateur alors qu’il n’a presque pas avancé dans sa partie.
Un rayon de soleil famélique traverse la forêt de chênes. L’herbe s’agite sous une légère brise. L’aube se lève. Thomas se réveille doucement.
– Mhhh j’ai bien dormi.
Il s’étire et sort de sa torpeur.
– Tiens mais où suis-je ? Je me souviens pas être sorti hier soir. Mais, mais … MES BRAS ! Qu’est-ce qu’ils ont ? Non c’est impossible, NON ! Les arbres sont carrés, le soleil aussi mes bras de même.
L’adolescent est sous le choc.
– C’est impossible je ne peux pas être dans Minecraft, c’est rationnellement impossible. Je dois rêver, il faut que je me pince.
Thomas se rend compte qu’il ne peut pas se pincer puisqu’il n’a pas de doigts.
– Fichu jeu, tu pouvais pas faire des graphismes plus élaborés Notch. Bon il faut que je me cogne la tête ou que je pense que c’est un rêve et je me réveillerai.
Thomas se dirige vers un arbre et se cogne la tête plusieurs fois sans résultat.
– Je crois qu’il faut se rendre à l’évidence, je suis bel et bien dans le jeu. Mais … mais c’est MA CHAMBRE !
Un petit vortex était en lévitation au-dessus du point où Thomas s’était réveillé. Un petit carré renvoyait une petite image grisée de la chambre de Thomas. En dessous du vortex trois petits emplacements étaient vides.
– C’est sûrement un portail, il faut que je le traverse.
Thomas toucha le portail avec sa main. La surface de ce dernier se révéla dure et froide comme un roc.
– Il faut pourtant que je retraverse ce portail. Il est sûrement fermé et les trois emplacements vides en dessous doivent signifier quelque chose. Je commence à avoir faim, il va falloir que je trouve des denrées à le mettre sous la dent. Heureusement que j’avais commencé une maison et des plantations.
Thomas se dirige vers la maison située à cinquante blocs de sa position actuelle et regarde les champs.
– Le blé et les carottes ont poussé mais il faudra attendre pour les pommes de terre. Ça fera l’affaire pour le moment.
Thomas arrache les plans de blé et les carottes jusqu’à la racine.
– J’espère que j’arriverai à transformer ces plants en pain. Allons donc à l’intérieur voir comment je peux faire ceci.
Il entre dans la maison en prenant bien soin de refermer la porte derrière lui. Et se dirige vers la table de craft.
– Et si je disposais les épis de blé sur les délimitations de l’établi ?
Pouf les épis se transformèrent en une miche de pain appétissante.
– Extraordinaire, ça marche.
Thomas dévora avec avidité une miche de pain et deux carottes pour se rassasier.
– Ça fait du bien. Il faut que je retrouve mon épée en pierre et ma pioche maintenant.
Thomas se dirige vers son petit coffre en bois. Et l’ouvre avec précaution comme s’il contenait un artefact d’une grande rareté.
– Les voici, je pourrai me protéger en cas d’attaque en partir en exploration pour trouver des minerais si besoin est.
Thomas range son épée dans le fourreau situé dans son dos et accroché sa pioche à son ceinturon.
– J’ai fière allure avec ses outils, on dirait un aventurier d’un autre âge.
Craccccc un bruit sourd le tire de sa rêverie. Un zombie vient de casser sa porte, la nuit venait subitement de tomber sans que l’adolescent s’en aperçoive. Thomas dégaine son épée de son fourreau.
– Ne bou-bouge plu-plus ou je t’étripe.
Le zombie ne comprenant rien aux paroles de l’humain avance derechef, rien de semblait pouvoir l’arrêter. Thomas pétrifié par la peur ne sait que faire mis à par pointer le bout de son épée vers l’insolente créature au visage déformé. Prenant son courage à deux mains l’adolescent prend son épée à deux mains et donne un grand coup au niveau de la nuque de l’abomination. La tête du zombie roula sur le sol. Thomas resta plusieurs minutes à fixer la tête du monstre sur le sol comme hypnotisé.
– J’ai tué quelqu’un, j’ai tué quelqu’un …… J’étais obligé c’était lui ou moi. Il faut vite que je répare cette porte de malheur ou je serai obligé d’abattre d’autres monstres. Il me fait donc quatre planches de bois, heureusement que j’ai pensé à couper un arbre.
Thomas s’en va chercher deux bûches de bois dans le coffre. Il pose les bûches sur l’établi, celles-ci se transforment en huit planches de bois. Thomas récupère les planches et en dispose six de façon à former un rectangle. Les planches se transforment encore une fois sous les yeux écarquillés du jeune homme. Thomas tient maintenant une grande porte en bois de chêne dans sa main, qu’il s’empresse de poser à l’emplacement de l’ancienne. Mais, pour être encore plus en sécurité il pose deux autres portes sur les emplacements restants devant la porte.
– Voilà je suis maintenant en sécurité mais il faudra que j’investisse dans une porte en fer. Tient le jour s’est levé, allons voir nos cultures.
Thomas sort, marche vers ses cultures et robe sur un panneau.
– Je n’ai pas la berlue ce panneau n’était pas là avant cette nuit. Qu’est il écrit dessus ?
Thomas, si tu veux sortir de ce monde rejoins-moi à la montagne située au nord de ce panneau.
C’est pour bientôt !
Merci à toi !
Merci !
Merci ;).
Bravo pour ce RP ! Merci
Je sais qu’il y a un roman qui parle de ça aussi mais je ne sais plus le nom.
brao a l’auteur, enfin un héro qui porte mon nom !
J’ai adoré cette petite aventure et j’ai hâte d’en lire la suite même si y a des petites fautes comme à ce moment où c’est écrit – J’ai tué quelqu’un etc à la fin c’est écrit comme ça (Il me fait donc quatre planches de bois) et juste au-dessus c’est écrit (rien de semblait pouvoir l’arrêter) après je n’ai pas fait attention aux autres fautes mais bon continue comme ça bravo à toi.
Salut, j’ai beaucoup aimé ton histoire ! Hâte de voir la suite :)
La suite est en cours d’écriture ;).
Habituellement je n’aime pas trop les textes dérivés de Minecraft mais la j’ai trouvé ca excellent ! Bravo ! Du coup… Bah j’attend la suite avec impatience