Comme j’étais assoupi
Comme j’étais assoupi,
à regarder les nuages informes,
et comptant dans mes poches le fourbi :
des brins d’herbe et des cailloux énormes.
Je songeai à conquérir l’envers et l’endroit,
La terre et son revers ; pour un palais !
J’y mettais mon lit, mes livres, du feu quand il fait froid,
Je cultiverai mon champ et je trairai le lait !
Apprenti paysan, chasseur, charpentier, bientôt bâtisseur de cathédrales
Inutile monument de pierre de sable et père de courants instables
Je déniche le fruit du torrent
Pêche l’invisible et perce une montagne
Je creuse, disperse, déplace et remplace.
J’érige le grand, j’embellis l’infini
Comme j’étais assoupi
Lorsque devant moi je vis sa verte face.
Menaxene
Majuscule en début de vers
joli joli
c plate
J’aime c’est super ! :)
tu decone c est super!!!!!!!!!!!!!!
Je ne suis pas un grand amateur de poèsie ni de français d’ailleur mais la je suis tomber amoureu des vidéos et du poème . . .
jadore !!!!!!!!!!!!!!
c’est ce que j’apelle du cubisme
Woaw, la, je dis chapeau bas et je m’incline à 90°!
Mais c’est moi ou n’y a que le talentueux Menaxene qui écrit des poèmes cubiques?
Cool
Les poèmes de Menaxene sont toujours aussi beaux. C’est vraiment un plaisir de lire ces quelques en phrase en une matinée d’Espagnole et D’histoire Géographie.
pas mal
Menaxene est un(e) très grand(e) poète . C’est du grand art Minercaftien